Grâce à Amandine Glévarec, j’ai eu la chance de revenir sur le rêve éveillé qu’a été la traduction du Garçon sauvage, de Paolo Cognetti (Zoé, 2016). L’exercice était simple: je réponds aux questions d’Amandine (ici), Paolo répond aux miennes (là) et Giorgio, qui a lu et aimé Le Garçon sauvage, écrit une chronique (encore ici).
Peu habituée à parler en mon nom, j’avoue avoir longtemps hésité avant de m’y plier, mais c’était sans doute la meilleure façon de boucler la boucle avant de laisser ce livre partir faire sa vie dans la tête des lecteurs. Alors merci mille fois, Amandine, pour ce baptême de feu… et pour avoir été là depuis le début, quand cette traduction n’était encore qu’une dizaine de pages en quête d’éditeur!