Tout juste de retour de Berlin, j’ai enfin pu récupérer chez Zoé mes exemplaires du Garçon sauvage, de Paolo Cognetti, le premier livre dont je signe la traduction et qui fait de moi officiellement une « traductrice littéraire » – une vie que j’attendais ça.
Et avec la belle préface que signe Vincent Raynaud, traducteur entre autres de Roberto Saviano, Marco Mancassola, Andrea Bajani, Vitaliano Trevisan (et qui en parle d’ailleurs très bien ici), je ne pouvais pas rêver meilleur parrainage.